Le lundi 12 décembre, le CA de l’UJM sera consulté sur le projet IDEX, c’est-à-dire sur la disparition de l’UJM début 2020.
Le terme de « fusion », qu’il était interdit d’employer en juin, a acquis durant l’été une indubitable pertinence, le président d’une université lyonnaise fanfaronnant même : « nous n’avons plus peur du terme de fusion[1] ». Le 30 septembre les présidents et directeurs d’établissements de la COMUE de Lyon font, sans avoir été aucunement mandatés pour ceci, une véritable profession de foi commune, qui présente non seulement des « objectifs » mais aussi des « engagements » et même des « convictions » qui seraient « partagés ». Elle a trouvé son prolongement en novembre avec un projet de réponse à l’IDEX qui envisage « la création d’une université nouvelle, unique et intégrée » (p. 5, p. 12, p. 13 de la présentation édulcorée du projet à destination des instances internes des universités concernées).
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